Tant de fois échoué J'ai joué des dissonnances Averti les serins Des meurtrissures à l'avance J'ai rompu des reins Usé des genoux Et ça recommence
Le manège a repris Un cheval, des licols L'adhérence des épidermes Et les soies de son regard Qui s'abandonnent Repris le pas de deux Les yeux dans les yeux Et les guiboles qui flageolent
Le cœur qui bat la métaphore Tout un harem en une seule Les adieux des eunuques L'instant porté aux nues Les galops, les cavalcades, Et comment c'est quand elle rigole Et comme c'est quand elle sourit
Tout s'ouvre et se transforme Elle se dévoile et me dénude...
Mademoiselle Ciguë : pas de conclusion, que des débuts ! :-))
Nicolas : houps ! J'ai corrigé ! (cela dit pour le site des éditions Filaplomb, il n'est pas évident de viser spécifiquement l'une des nouvelles plutôt qu'une autre, elles sont toutes bien !).
Elle va être heureuse et fière, certainement de lire ce très beau poème...
RépondreSupprimerZoridae : qui ça ?
RépondreSupprimer;-))
Bon ben t'as conclu alors?
RépondreSupprimer[deux volets pour le meuble!]
Commentaire privé :
RépondreSupprimerPoireau,
Bordel, je t'ai dit de mettre des les liens sur des billets, par sur des blogs.
Mademoiselle Ciguë : pas de conclusion, que des débuts !
RépondreSupprimer:-))
Nicolas : houps ! J'ai corrigé !
(cela dit pour le site des éditions Filaplomb, il n'est pas évident de viser spécifiquement l'une des nouvelles plutôt qu'une autre, elles sont toutes bien !).