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lundi 13 octobre 2008

Les femmes [mystères et boule de gomme !]

Reprise d'un article plus ancien



Schéma descriptif d'un être féminin [source]



Les femmes sont un mystère que n'éclaire ni la durée ni le libertinage.
Vous pouvez en baiser aimer tant et tant que ça n'y change rien, elles restent à des lieux de la logique logique.

Par exemple, dans une soirée, vous entrez dans la pièce, la fille est occupée à papoter avec ses copines, c'est à dire occupée à raconter tout ce que quelqu'un lui a dit dans la journée [parce que les filles passent leur temps à rapporter la parole des autres, il faut le savoir].

Et quand elle vous voit enfin, elle flashe sur vous [si, à la lecture de cette phrase, tu penses que tu es trop laid pour cela t'arrive à toi, je te conseille d'apprendre à laisser aux autres leur propre regard]. A partir de ce moment là, elle fera tout pour vous dissimuler son sentiment, que vous ne sachiez surtout pas qu'elle meurt d'envie de ne plus être qu'une chose toute petite et fragile entre vos bras trop forts mais devenus délicats par la grâce de l'amûr pour sa personne.

[Ce n'est pas un tantinet narcissique comme pensées, ça ?].

Même si la fille vient de passer quatre ans sans apercevoir l'ombre d'un épiderme de mâle ni rien d'une chose un peu moins dans les détails à proximité de sa couette et que même le canard ne l'amuse plus vraiment, elle planquera sous des tonnes de banalités, voire de méciocrité, cette émotion qu'elle ressent soudain. Elle peut même pousser la duperie jusqu'à repousser vos avances au cas où vous l'auriez vous aussi repérée.

C'est dire si elles sont faciles à comprendre, non ? Ou alors, parfois elles les acceptent sans trop savoir pourquoi et de fil en aiguille, si je puis dire, se retrouvent avec des maris qui ne leur conviennent pas du tout. Elles n'ont avec eux aucun échange possible, aucun dialogue et chacun de leurs goûts leur semblent à elles comme une erreur de la nature. Mais elles les épousent en se disant qu'elles arriveront à les changer.

Un peu comme si, passionnés de tennis, vous vous achetiez des gants de boxe en étant tout à fait convaincu que les règles de ce sport de combat finiront par évoluer [tiens de la boxe avec un filet au milieu du ring, c'est un nouveau concept. Surtout si on ajoute des raquettes et une balle].

Et je reste convaincu, moi qui était ces temps-ci célibataire, que si je pouvais accompagner une femme sur une plus longue période, je ne le pourrais qu'au prix de cette incompréhension permanente qu'elles représentent à mes yeux.

Que voulez-vous, ce que j'aime dans la féminité, c'est la surprise…

17 commentaires:

  1. C'est marrant parce que ce phénomène est ancré en nous les filles.
    C'est même inné.
    Rappelle-toi, dans la cour de l'école, quand les filles détestent les garçons.
    Celles qui sont les plus méchantes avec eux sont celles qui en fait, ont envie de faire des bisous dans les cabinets.

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  2. J'ai du rater les leçons de 'comment être une femme'

    ...

    en même temps, je m'en fous...

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  3. Elles aussi aiment qu'on les surprenne ! Les femmes sont indispensables à l'équilibre du monde, cher Poireau: elles compensent, par leurs petits défauts, toutes nos innombrables qualités ! ;-)

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  4. Mélina : Je ne sais pas, pour ma part, j'étais déjà aux cabinets ! :-]

    Melle Ciguë : toi, tu fais partie de la partie "surprise" et c'est tant mieux ! :-))

    Homer : je ne dis pas autre chose ! J'en suis le premier convaincu mais les différences homme/femme ne cessent de m'amuser !! :-))

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  5. Oui.
    Mais quand tu parles de mal assortiment, je crois que tu révèles un besoin de confort en fait. Et, à ce niveau là, je ne suis pas sûr que les mecs ne soient pas pareils.

    Vivre quotidiennement avec quelqu'un que tu aimes et qui t'aime, vraiment, c'est sans doute paradoxalement plus compliqué ; parce que toutes les crises sont autant de déchirements (et l'amour, hélas, ne t'exonère pas des crises de couple).

    Bref, vivre et aimer, c'est harassant, c'est insécurisant, c'est vivre avec la peur de perdre ce qui t'est cher. Si en plus, tu ajoutes des momes, alors là...tu deviens dingue, ton monde devient insécurité permanente.

    Mais quand ça roule, ça roule d'une force !!!

    (je suppose qu'en tout, il y a avantages et inconvénients)

    (à la réflexion quand même, si je me souviens de ce qui a été ma vie avec une femme qui ne m'était pas assortie, je n'ai pas envie du tout d'y retourner ; malgré tout le confort de ladite situation ; le confort, c'est un peu mourir, non ?)

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  6. Dorham : je fais la distinction entre l'amour passionnel qui, de toute façon est une forme d'auto destruction (en instrumentalisant l'autre de surcroît) et la relation amoureuse où le sentiment est moins violent mais plus "étendu".
    Je pense (avec le bénéfice de l'âge) qu'il doit être possible de s'entendre pour peu qu'il y ait une autonomie respective et respectée, un terreau qui permet de se réinventer régulièrement.
    Mais bon, je suis surtout un théoricien moi !
    :-)))

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  7. 'Mais bon, je suis surtout un théoricien moi'
    Pas seulement! Tu appliques aussi! ...et c'est ça qui est merveilleux...

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  8. Mademoiselle Ciguë : merci ! Je disais surtout théoricien pour ce qui est de la durée. Mais comme tout bon "savant," je suis prêt à l'expérience !
    :-))

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  9. Z'êtes pas au bout...

    (Des surprises.)

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  10. monsieur poireau, il y aussi l'osmose, funanbulesque, source de vertige autant que de la force dont parle dorham…

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  11. Didier Goux : j'espère bien ne pas en avoir fini des surprises ! :-))

    Le Coucou : funambulesque ? Comme une sorte d'équilibre précaire alors ! :-))))

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  12. Ah, ah... Il y a une option à choisir entre : le mystère et la boule de gomme ?
    S'il n'y avait rien à "découvrir" vous aimeriez, vous, messieurs ?
    Par ailleurs, une vie de couple,
    quelle aventure...

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  13. Jeffane : pas nécessaire de choisir, c'est fromage ET dessert ! :-)))

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  14. La fidélité n'empêche pas de la découvrir jour après jour... et d'être surpris.

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  15. à Homer : Permettez-moi cette mini-précision, parce qu'une petite chose me titille l'esprit.
    Eh bien je croyais pourtant...
    l'on m'avait dit aussi...
    que Dieu avait créé Adam avant Eve et "qu'il avait fait un brouillon avant de faire un chef-d'oeuvre"...
    et si nos petits défauts exaltent vos qualités messieurs, que seriez-vous sans nous...hum !!!
    Pas de mystères, pas de découvertes, pas d'aventures, et encore moins de rêves - et je n'ajoute pas à ces derniers mots des adjectifs exubérants sinon... le néant quoi...
    Alors, ce petit complément - je veux dire la femme - ne s'avère-t-il pas indispensable à votre bonheur....
    C'était juste comme cela une petite pensée qui me trottait par la tête...

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