Bronze de Philippe Morel [allez-y voir !]
Je veux que tu offres à mes naseaux ta vulve de jument.
Je veux que nos ébats s'étalent jusqu'aux éclats des merles dans les prémices du jour.
Je veux goûter entre tes cuisses la belle acidité de ta sueur.
Juste après, je veux fumer, la tête sur ton ventre et le sexe aussi lourd qu'un souvenir de noyade. Ta main dans mes cheveux, tes mots dans l'air autour, ton souffle profond contre ma nuque.
Je veux tes doigts sur ce torse qui te rassure et me conforte. Mes phalanges sur tes lèvres pour quêter les baisers.
Je veux être l'homme que tu me feras être, pendant que tu attraperas au fond de toi, quelques lumineuses particules de féminité.
Lucioles dont la clarté, même faible, inverse le sens de la nuit…J'ai retrouvé ce texte dans un de mes cahiers.
Je le trouve juste dans ma vie du moment,
je ne me souvenais plus que
je l'avais déjà mis en ligne à l'époque !
Pages
▼
Prem's!!! HA HA HA!!!
RépondreSupprimerTu as bien fait de le publier à nouveau: pour moi, une découverte!
RépondreSupprimerMademoiselle Ciguë : feriez mieux de vous occuper des fleurs ! Et toc ! :-))
RépondreSupprimerLe Coucou : j'ai un passé de blogueur assez chargé, en fait !!! :-))
Putain ! vite ! un seau d'eau !
RépondreSupprimerDider Goux : j'ajoute des glaçons ? ;-)))
RépondreSupprimerQuelles exigences!
RépondreSupprimer...
...
Si je te dis à quoi j'ai pensé en lisant ton texte, tu vas m'en vouloir...
RépondreSupprimerBon puisque t'insiste, je te le dis ;-)
J'ai pensé à "quand ton corps sur mon corps, lourd comme un cheval mort". C'est une phrase qui m'a fait beaucoup fantasmer quand j'étais jeune (au siècle dernier)
Mademoiselle Ciguë : moi, on me dit "quand on veut, on peut" !!! :-))
RépondreSupprimerMadame de K : cette phrase m'a toujours fait rire !!! Je suppose que l'association d'idée vient de la jument ! :-)))
Prem's!!! HA HA HA!!!
RépondreSupprimerNicolas: Même pas vrai! Menteur!
RépondreSupprimer