Si tu intègres que foot, c'est pied et ball, ballon*, tu peux considérer que tu as compris l'intégralité de ce sport. Il y a bien quelques histoires à propos du hors-jeu mais tu verras qu'à l'usage, que ce n'est pas bien compliqué : l'arbitre siffle, les joueurs protestent, le public vocifère, les commentateurs commentent puis la partie reprend.
Avec un tel niveau de complexité dans le règlement, tu comprends que si on y parle couramment de qualifications, il ne peut en aucun cas s'agir d'un niveau d'étude ou d'un quelconque diplôme en jonglerie du pied gauche*.
Et à côté de ça, tu as le rubgy dont la règle n° 1 énonce que le but du jeu est d'avancer en ne lançant la balle que vers l'arrière. Avoue que, pour un sport, ce n'est pas commun*. Essaie un peu de demander ça à Franck Ribéry, qu'on rigole un peu.
Tu as le droit d'envoyer volontairement le ballon* en touche mais pas directement. Il faut d'abord qu'il rebondisse à l'intérieur des limites du terrain avant d'en sortir. Sauf si le tireur est posté dans ses vingt-deux mètres au moment où il récupère la balle. Si ce n'est pas le cas, l'arbitre revient à l'endroit du coup de pied et ordonne une mêlée avec introduction par l'équipe adverse.
L'ovale de cuir doit être glissé au centre exact de l'arche formée par le corps puissant des joueurs épaule contre l'épaule, la cuisse* tendue par l'effort, les reins vigoureux, la force individuelle s'additionnant à la détermination de l'ensemble. L'équipe qui pousse le plus fort devient propriétaire de l'ovoïde trophée et passe à l'attaque.
Le ballon* passe rapidement de main en main, de joueur en joueur courant au même rythme, les crampons, dans la pelouse, s'enfoncent profond lorsque l'ailier décide violemment de modifier sa course*. Le trois-quart d'en face a bien anticipé et vient de tout son poids le frapper en pleine course, à hauteur de la taille. Le ballon lui échappe et l'adversaire à son tour décide de gagner du terrain. Les quinze se lancent comme un seul homme.
Mais l'arbitre siffle et appelle le joueur* à le rejoindre. Il lui explique la raison de son intervention et lui rappelle que c'est la seconde fois qu'il commet cette faute dangereuse. Il sort son carton jaune. Le gars s'en va, traverse le terrain pour aller s'asseoir sur le banc pour une durée de dix minutes. Nul ne proteste sur la pelouse ou dans le stade, l'arbitre est là pour le respect de la règle ; s'il juge qu'elle a été bafouée, c'est qu'elle l'a été, le jeu reprend.
Il n'y a pas plus collectif que le rugby. Si toi, tu ne te bouges pas, tu ne peux pas compter sur un exploit de l'avant centre pour péter une lucarne à vingt mètres. C'est toute l'équipe et chacun de l'équipe qui doit être solidaire* de la force* commune. Si tu te prends des beignes, tu te relèves parce que tu sais que tes potes ont besoin de toi pour avancer… en lançant la balle vers l'arrière…
Illustration*
Tu as le droit d'envoyer volontairement le ballon* en touche mais pas directement. Il faut d'abord qu'il rebondisse à l'intérieur des limites du terrain avant d'en sortir. Sauf si le tireur est posté dans ses vingt-deux mètres au moment où il récupère la balle. Si ce n'est pas le cas, l'arbitre revient à l'endroit du coup de pied et ordonne une mêlée avec introduction par l'équipe adverse.
L'ovale de cuir doit être glissé au centre exact de l'arche formée par le corps puissant des joueurs épaule contre l'épaule, la cuisse* tendue par l'effort, les reins vigoureux, la force individuelle s'additionnant à la détermination de l'ensemble. L'équipe qui pousse le plus fort devient propriétaire de l'ovoïde trophée et passe à l'attaque.
Le ballon* passe rapidement de main en main, de joueur en joueur courant au même rythme, les crampons, dans la pelouse, s'enfoncent profond lorsque l'ailier décide violemment de modifier sa course*. Le trois-quart d'en face a bien anticipé et vient de tout son poids le frapper en pleine course, à hauteur de la taille. Le ballon lui échappe et l'adversaire à son tour décide de gagner du terrain. Les quinze se lancent comme un seul homme.
Mais l'arbitre siffle et appelle le joueur* à le rejoindre. Il lui explique la raison de son intervention et lui rappelle que c'est la seconde fois qu'il commet cette faute dangereuse. Il sort son carton jaune. Le gars s'en va, traverse le terrain pour aller s'asseoir sur le banc pour une durée de dix minutes. Nul ne proteste sur la pelouse ou dans le stade, l'arbitre est là pour le respect de la règle ; s'il juge qu'elle a été bafouée, c'est qu'elle l'a été, le jeu reprend.
Il n'y a pas plus collectif que le rugby. Si toi, tu ne te bouges pas, tu ne peux pas compter sur un exploit de l'avant centre pour péter une lucarne à vingt mètres. C'est toute l'équipe et chacun de l'équipe qui doit être solidaire* de la force* commune. Si tu te prends des beignes, tu te relèves parce que tu sais que tes potes ont besoin de toi pour avancer… en lançant la balle vers l'arrière…
Illustration*