[source de la photo floue]
Je l'ai dit à ma femme tout à l'heure, après qu'elle m'ait encore fait remarquer une malheureuse goutte d'urine qui avait subrepticement trouvé le chemin de la liberté et du carrelage :
_ C'est bien beau que sous prétexte de libération de la femme, vous ayez décidé de brûler tous les bidets mais vous n'aviez qu'à nous laisser les urinoirs !
Non, mais qu'est ce que c'est que cette idée de disposer une cuvette à ras du sol tandis que l'homme, tel que d.ieu l'a voulu, est fait pour se soulager debout. Au lieu de cela, nous voilà obligés de courber l'échine afin de pouvoir vérifier visuellement si le point d'impact concorde avec l'objectif de la visée. Nous devons dès lors considérer comme du harcèlement et de la torture de disposer ainsi ce réceptacle etde demander d'exiger que pas un jet ne fut dévié.
Elles doivent vraiment confondre notre pénis avec un laser de précision puisqu'elles compliquent encore la manœuvre pourtant déjà délicate, avec l'ajout du couvercle des toilettes. Je n'aborde pas ici l'épineuse question de le maintenir soulevé ou non, tant la réponse me semble évidente mais bien celui de cette réduction supplémentaire du diamètre disponible au passage de la giclée libératrice.
Messieurs, il est temps de réagir ! Réclamons urgemment l'installation dans nos foyers des véritables urinoirs pour mâles qui nous permettrons de pisser bien campés sur nos deux pieds et en gardant un œil ouvert sur le lointain horizon à la recherche d'un avenir radieux…
Je l'ai dit à ma femme tout à l'heure, après qu'elle m'ait encore fait remarquer une malheureuse goutte d'urine qui avait subrepticement trouvé le chemin de la liberté et du carrelage :
_ C'est bien beau que sous prétexte de libération de la femme, vous ayez décidé de brûler tous les bidets mais vous n'aviez qu'à nous laisser les urinoirs !
Non, mais qu'est ce que c'est que cette idée de disposer une cuvette à ras du sol tandis que l'homme, tel que d.ieu l'a voulu, est fait pour se soulager debout. Au lieu de cela, nous voilà obligés de courber l'échine afin de pouvoir vérifier visuellement si le point d'impact concorde avec l'objectif de la visée. Nous devons dès lors considérer comme du harcèlement et de la torture de disposer ainsi ce réceptacle et
Elles doivent vraiment confondre notre pénis avec un laser de précision puisqu'elles compliquent encore la manœuvre pourtant déjà délicate, avec l'ajout du couvercle des toilettes. Je n'aborde pas ici l'épineuse question de le maintenir soulevé ou non, tant la réponse me semble évidente mais bien celui de cette réduction supplémentaire du diamètre disponible au passage de la giclée libératrice.
Messieurs, il est temps de réagir ! Réclamons urgemment l'installation dans nos foyers des véritables urinoirs pour mâles qui nous permettrons de pisser bien campés sur nos deux pieds et en gardant un œil ouvert sur le lointain horizon à la recherche d'un avenir radieux…