(source)
Nicolas Sarkozy, alors qu'il perd du terrain à mi-course, essaie de se remettre en selle. Il parie sur son poulain Eric Besson pour chevaucher le thème de la nationalité.
Sensible à ce manège, piqué à vif, la horde des blogueurs, qui piaffait d'impatience, se place sur la ligne de départ. Ils font la queue pour remettre le fer au feu. Toute une cavalerie d'articles parait sur le sujet qui règle son allure sur le pas des auteurs. Certains ruent dans les brancards, d'aucuns abusent des cravaches, d'autres encore jouent les boute-en-train. Ils sautent l'obstacle ou bien le contournent de quelques saillies.
Etalons notre pur-sang au triple galop semble être le nouveau slogan de l'UMP qui révise son tiercé de tête des valeurs. Finie la liberté, on s'attache à sa terre. Le boulonnais, l'ardennais, le percheron ont un nouveau trait commun : ils sont de la nation et s'attèlent à en défendre le sillon. Ils sont ceux qui se lèvent tôt mais sans se mâtiner…
Nicolas Sarkozy, alors qu'il perd du terrain à mi-course, essaie de se remettre en selle. Il parie sur son poulain Eric Besson pour chevaucher le thème de la nationalité.
Sensible à ce manège, piqué à vif, la horde des blogueurs, qui piaffait d'impatience, se place sur la ligne de départ. Ils font la queue pour remettre le fer au feu. Toute une cavalerie d'articles parait sur le sujet qui règle son allure sur le pas des auteurs. Certains ruent dans les brancards, d'aucuns abusent des cravaches, d'autres encore jouent les boute-en-train. Ils sautent l'obstacle ou bien le contournent de quelques saillies.
Etalons notre pur-sang au triple galop semble être le nouveau slogan de l'UMP qui révise son tiercé de tête des valeurs. Finie la liberté, on s'attache à sa terre. Le boulonnais, l'ardennais, le percheron ont un nouveau trait commun : ils sont de la nation et s'attèlent à en défendre le sillon. Ils sont ceux qui se lèvent tôt mais sans se mâtiner…