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Êtes-vous bien conscients que la castration physique que la sémillante madame Alliot-Marie propose d'appliquer aux délinquants sexuels, consiste simplement à leur couper les couilles ? C'est donc d'être équipé d'une paire de roubignoles qui implique la perversion sexuelle ? Et son ablation qui permettra de devenir un homme meilleur dans une sexualité apaisée ? Une fois dépourvu de ses valseuses, le dangereux pervers rentrerait donc dans le rang de la normalité sexuelle.
Nous noterons au passage que le projet ne dit rien du châtiment qu'il convient d'appliquer aux très nombreuses mères abusives, aux femmes infanticides ni comment lutter contre toutes les autres folcocheries de la gente maternelle.
Si nous pensons aux pauvres petits enfants blonds dont les grands yeux clairs se mouillent de larmes à cause de la souffrance de leur minuscule corps sans défense face à la sauvage agression de l'adulte prédateur et en érection, une envie de découpage peut subvenir. Est ce une raison pour céder à cette pulsion sans d'abord prendre le temps de se calmer en répondant à quelques questions simples :
Sous couvert de la légitime émotion suscitée par quelques faits divers, la droite extrême qui nous gouverne, en profite pour s'offrir une belle régression en matière de Justice. Non seulement, elle lance le retour aux sévices physiques en tant que réparation d'une faute mais de plus, elle se permet de réinventer la double-peine. C'est en effet après des années d'un emprisonnement solitaire, qu'on appellera le condamné pour lui sectionner les roupettes.
C'est d'une grande perversion dans le timing. Juste au moment où il pouvait espérer en retrouver un usage normal [notamment autre que masturbatoire] que sssshlaaak !, on le sépare brutalement de ses précieuses. Heureusement pour l'opinion publique, nous avons depuis longtemps renoncé à l'usage du pagne et de la machette en faveur du port de la blouse et de l'excellente dextérité que permet le bistouri.
S'il s'avérait que nos députés etsécateurs sénateurs donnent leur accord à une évolution du droit pénal en ce sens, nous pouvons d'ores et déjà préconiser d'autres pistes dont on devine par avance la totale efficacité :
Tout le problème de ce genre de législation, c'est que cela parait être une excellente solution aussi longtemps que nous nous pensons dans le camp des gentils…
Êtes-vous bien conscients que la castration physique que la sémillante madame Alliot-Marie propose d'appliquer aux délinquants sexuels, consiste simplement à leur couper les couilles ? C'est donc d'être équipé d'une paire de roubignoles qui implique la perversion sexuelle ? Et son ablation qui permettra de devenir un homme meilleur dans une sexualité apaisée ? Une fois dépourvu de ses valseuses, le dangereux pervers rentrerait donc dans le rang de la normalité sexuelle.
Nous noterons au passage que le projet ne dit rien du châtiment qu'il convient d'appliquer aux très nombreuses mères abusives, aux femmes infanticides ni comment lutter contre toutes les autres folcocheries de la gente maternelle.
Si nous pensons aux pauvres petits enfants blonds dont les grands yeux clairs se mouillent de larmes à cause de la souffrance de leur minuscule corps sans défense face à la sauvage agression de l'adulte prédateur et en érection, une envie de découpage peut subvenir. Est ce une raison pour céder à cette pulsion sans d'abord prendre le temps de se calmer en répondant à quelques questions simples :
1. La couille molle est-elle une garantie pour la paix des familles ?
2. A l'inverse, être en possession d'une bonne paire de boules dans le caleçon, doit-il amener à s'interroger sur ses pensées les plus secrètes ?
3. Sera-t-il offert une séance de chirurgie réparatrice en cas d'erreur judiciaire ? [Et si la réponse est oui, réclamons à l'État la création d'un service public chargé de la conservation des gonades dégommées !]
Sous couvert de la légitime émotion suscitée par quelques faits divers, la droite extrême qui nous gouverne, en profite pour s'offrir une belle régression en matière de Justice. Non seulement, elle lance le retour aux sévices physiques en tant que réparation d'une faute mais de plus, elle se permet de réinventer la double-peine. C'est en effet après des années d'un emprisonnement solitaire, qu'on appellera le condamné pour lui sectionner les roupettes.
C'est d'une grande perversion dans le timing. Juste au moment où il pouvait espérer en retrouver un usage normal [notamment autre que masturbatoire] que sssshlaaak !, on le sépare brutalement de ses précieuses. Heureusement pour l'opinion publique, nous avons depuis longtemps renoncé à l'usage du pagne et de la machette en faveur du port de la blouse et de l'excellente dextérité que permet le bistouri.
S'il s'avérait que nos députés et
. Je propose qu'à tout élève surpris à copier le devoir de son voisin de table, il soit décidé de crever l'œil responsable des faits. Et les deux yeux si la triche est avérée durant un examen qui permet d'obtenir un diplôme de l'enseignement supérieur.
. S'il est évident qu'il faille trancher la main des voleurs, pourquoi ne pas proposer l'ablation du tibia de la jambe droite pour les chauffards reconnus responsables d'un accident mortel ?
. La tonsure pour les coiffeurs incompétents, l'enlèvement d'un poumon pour les fumeurs récalcitrants, d'une bonne partie du foie en cas d'ivresses tapageuses et vomitives sur la voie publique, et bien entendu, je préconise qu'on étudie, pour les élus ayant manqué de tenir leurs promesses, la possibilité de leur couper la langue.
Tout le problème de ce genre de législation, c'est que cela parait être une excellente solution aussi longtemps que nous nous pensons dans le camp des gentils…
Merde, si la droite comprend soudain
que la sexualité dépend aussi
et en grande partie
d'un fonctionnement psychologique,
je crains qu'elle ne propose
le retour à la décapitation…
que la sexualité dépend aussi
et en grande partie
d'un fonctionnement psychologique,
je crains qu'elle ne propose
le retour à la décapitation…
Depuis quand tu fais des billets le matin ? Un dérèglement hormonal suite à une quelconque ablation ?
RépondreSupprimerOuaip, je ne suis pas aussi catégorique. Vu que si on touche un cheveu de ma progéniture non seulement j'émascule le sujet directement sans passer par la case procès mais qu'en plus après je lui fait bouffer la partie sectionnée, quitte à finir en tôle. Faut voir.. La castration chimique est appliquée dans certains pays avec quelques résultats, semble-t-il. Plus sérieusement, si les gens sont volontaires, pourquoi pas (la chimique, hein, pas la physique)
RépondreSupprimerNicolas : c'est en fait un billet programmé d'hier ! Je triche pour répartir sur la semaine ! :-)) Mes hormones vont très bien en fait, en légère surproduction même ! :-))
RépondreSupprimeremanu124 : la castration chimique s'accompagne d'un suivi psy me semble-t-il et répond mieux à la problématique que la simple castration physique ! :-))
qu'on soit gentil ou méchant, les coucougnettes, c'est sacré... Alors, je pense simplement qu'un type qui s'en sert dans la perversion dont on parle ici doit simplement finir ses jours en prison, et voilà ! Pas de tentation, pas de pêché.
RépondreSupprimerAmen.
Homer : il y a nécessité de soin et donc obligation pour l'Etat d'aménager aussi cette partie. Des barreaux, d'un point de vue psychanalitique, sont assez peu efficients !
RépondreSupprimer:-))
Il y a un truc qui cloche, ici, il n'y a que des mecs qui commentent?
RépondreSupprimer...
Un ange passe
les anges sont asexués je le signale, et donc penser avec ses coucougnettes, pas adéquat.
Pourquoi le castration chimique est elle insatisfaisante? Parce que si les mecs ne prennent pas leurs dopes, ils ne sont plus castrés (pas forcément grave, ça dépend pour qui...) mais ils subissent leurs pulsions. Pour les plus tordus ces pulsions les poussent à violer des femmes parfois mais aussi des tout petits enfants...
Très sincèrement ces pauvres types sont bien plus malheureux par leurs sexualités qu'ils n'en retirent un quelconque plaisir. Leurs partenaires, idem, pour le moins.
Je suis, en tant que femme d'abord, et de mère ensuite et surtout; pour la liberté conditionnelle accompagnée de castration physique pour les grands malades.
Suis contre cette castration chimique offrant trop peu de sécurité pour ces hommes hyper dangereux.Je suis pour cette castration temporaire, en aide supplémentaire à une aide psy, pour les moins "dingues"
Moi, je dis ça, je dis rien, vous vous imaginez être la proie d'une folle hystérique, moche, vieille et stupide, puant, bavant et vous obligeant à satisfaire ses plus pervers caprices?
Imaginez vous votre enfant de six ans en être la proie?
Chance, nous femmes, pouvons être nympho, mais, à ma connaissance restons moins prédatrices.
Ladywaterloo : en suivant l'un des liens, tu tombes sur les statistiques des appels reçus pour maltraitance aux enfants. En majorité, ce sont des femmes !
RépondreSupprimerFaire des hommes des victimes de pulsion est une fiction, tout simplement !
Tu sais quel est l'argument utilisé pour pratiquer l'ablation du clitoris chez les jeunes filles africaines ?
Si des gens sont malades, c'est qu'ils ont besoin de soins, pas d'un recours à la chirurgie. En matière de sexualité, le psychisme n'a-t-il donc aucune importance ?
:-))
Bonjour,
RépondreSupprimerc'est vrai ça... et si c'est une femme...
on coupe quoi ?
;o)
@+
En fait ils pourrons quand même y mettre les doigts...
RépondreSupprimerEt certains seront moins mal heureux, ils ne survivront pas à l'opération!!!
Colère!
J'ai "soigné" en service à jeune qui en avait violé un autre...
Son histoire? Il était élevé par sa tante qui se frottait contre lui avec divers amants en regardant des films de cul, lorsqu'il était tout petit...
Alors de quoi était il vraiment coupable? D'un monde ou on en chie parfois trop seul???
Alors oui, comme vous, COLERE!!!
Euh, et j'ai des enfants! Mais la peur ne me parait pas tout justifier...
RépondreSupprimerGaloune16 : bienvenue par ici ! :-)
RépondreSupprimerIl est aisé pour un politicien d'agiter des arguments de ce niveau, n'est ce pas ?
Merci du commentaire ! :-))
Euh... sur le sujet, j'ai beaucoup de mal parce que si ça devait arriver à mon gosse, rien ne pourrait m'empêcher d'aller lui couper les couilles moi même au gars... hum
RépondreSupprimerExcusez moi pour ces deux secondes de violence, sinon je suis contre la castration, sauf si c'est à la demande du déséquilibré sexuel.
J'en suis là dans ma réflexion. Pas simple...
:)
Stef : le réflexe de vengeance est assez prévisible et normal. La justice par contre est là pour gérer les faits dans la communauté ! :-))
RépondreSupprimerles actes de maltraitance ne sont pas tous sexuels, les femmes sont plus souvent coupables de graves négligences et violences, psy et physique, mais pour les violence sexuelles, elles ne sont en général que complices.Et c'est assez monstrueux, comme cela.
RépondreSupprimerIl y a bien sûr des femmes "violeuses " de gosses, mais je pense pas qu'il y ait tabou et elles sont largement minoritaires.
L'argument principal de l'ablation du clitoris? Les filles ne peuvent pas se marier sinon. Et les mères obéissent à la tradition.Elles ont surement peur que leurs filles ne connaissent une sexualité débridée si elles ne les mutilent pas.
Le psy ne peut pas grand chose pour certains de ces hommes ou femmes, quand ils sont trop frustres, et les moins frustres arriveront à cacher avec plus d'habileté leurs crimes.
La prison à vie n'est pas une solution, jamais, mais un pis aller.
Alors que faire? des bracelets électroniques? des patchs sous la peau pour une castration chimique? un flicage permanent de ces ex-délinquants?
En matière de sexualité si le psychisme était aussi important, pour la majorité des hommes que pour les femmes, il y aurait moins de femmes exerçant le plus vieux métier du monde, non?
En revanche,il me semble que le rôle de l'éducation des enfants est prépondérant dans l'apprentissage du respect de l'autre, respect de l'intégrité du corps de l'autre, respect de la volonté de l'autre....
Si je suis moins indignée par une castration définitive, pour les plus malades d'entre eux,multi- récidivistes, c'est que je ne crois pas en la possibilité réelle pour ces individus d'avoir de vraies relations amoureuses, ils sont en quelque sorte handicapés. Leurs places n'est pas en prison, et la société n'admettra pas de les laisser en liberté sans mise hors de danger définitive.
Le grand danger est qu'une fois légalisé ce type de mutilation elles puissent être multipliées sans raisons.
Ladywaterloo : on peut faire confiance à nos dirigeants pour abuser évidemment de ce genre de sévices physiques !
RépondreSupprimer:-))
Je suis d'accord avec ton billet, la castration serait un retour au Moyen-Âge. Les délinquants sexuels posent un réel problème, mais on ne peut pas essayer de le résoudre en adoptant le point de vue, le regard de parents…
RépondreSupprimerLe Coucou : c'est surtout la solution la plus simpliste qui est proposée. Evidemment face à un problème complexe, c'est plus limpide pour les politique de faire un discours direct : qu'on leur coupe les parties ! Mais ça ne règle rien et surtout ça rabaisse la Justice !
RépondreSupprimer:-))
Attention, grande révélation de Mlle ciguë... J'ai moi-même subit ce qu'on appelle "légalement" des attouchements sexuels. J'avais à peine 15 ans. C'était le frère de ma mère. Pour être honnête, je n'en suis toujours pas remise, même si j'arrive, de plus en plus, à "passer au-dessus".
RépondreSupprimerJ'ai toujours rêver de tuer l'homme qui m'a fait subir ça - et qui dans une certaine mesure continue encore aujourd'hui- Par contre, étonnement, je n'ai jamais pensé à lui couper les couilles...
Je suis on ne peut mieux placée pour savoir que la sexualité se passe pour une très large part dans la tête. Physiquement, je vais très bien, mais dans la tête, c'est le foutoir le plus complet!
N'est-ce pas là la preuve que couper les testicules d'un pédophile, d'un violeur, ou d'un tout autre acteur de sévices sexuels ne changera probablement rien au problème ?
La plupart du temps, ces personnes sont malades, non pas physiquement mais mentalement. Une suppression physique n'empêchera jamais une pulsion "cérébrale"...
Maintenant, je n'ai pas le solution idéale. J'imagine que pour certains une psychothérapie s'impose, j'imagine aussi que pour d'autres cette solution n'est pas adéquate... Que faire ? Je n'en sais rien. Mais la castration physique n'est à mon avis pas une solution valable !
Mademoiselle Ciguë : évidemment que la castration physique ne règle rien. Peut-être est-elle juste favorable à quelque carrière politique, et encore…
RépondreSupprimer:-))
[Je suis de gauche, je crois que l'homme peut progresser, apprendre et s'améliorer ! :-| ].
[je suis de je sais pas trop quel bord, mais j'ai beaucoup moins confiance en l'humanité que toi ! ]
RépondreSupprimerEn plus de ce qui a été dit j'aimerai juste rajouté, outre le fait que ça ne changera rien à la donne, que la conséquence la plus plausible à tous ça est le regain de haine contre la société. Et au pire, miséricorde! Ils feront subir ce qu'ils ont subi aux autres... Néanmoins, paradoxalement, je suis pour la solution extrême.
RépondreSupprimerEnsuite, il est évident que ce cas est complexe, comment faire... Comment faire...
La castration physique évidemment non. C'est le moyen-âge. Mais n'atteint-on pas le même objectif avec la castration chimique? C'est une question mentale certes mais les hormones y jouent le plus grand rôle. Quant aux risques évoqués par Ladywaterloo, il doit bien avoir un moyen de vérifier le taux "de je ne sais quoi" toutes les semaines pour s'assurer de la prise des médicaments. Faute de quoi, hop, retour en prison.
RépondreSupprimerJe ne parle même pas des résultats d'une castration physique sur un condamné qui s'avèrerait plus tard innocent...
Tous ces arguments sont en dessous de la ceinture. Pas de coups bas.
RépondreSupprimereye-watch : tu as bien compris une chose essentielle : à un problème complexe, ne pas accepter de solution simpliste ! :-))
RépondreSupprimerJulien : oui ! Je dis toujours que je suis absolument pour la peine de mort, dès lors qu'elle est réversible ! La castration chimique est évidemment un moyen de contrôle bien plus efficace, d'un point de vue médical, que le sabrage de coucougnettes ! Et bien sûr, on peut revenir en arrière en cas d'erreurs ou même d'inefficacité !
Pour le contrôle des injections, ça ne semble pas insurmontable. Si mes connaissances sont exactes, la castration chimique consiste en un implant sous la peau qui diffuse des hormones pendant une durée donnée. L'implant doit donc être changé tous les x semaines ou mois, facile de vérifier que tout le monde passe à son rendez-vous ! :-)))
mam'zelle nitouche : la castration physique proposée par Alliot Marie est un coup bas ! C'est pas moi qui ai commencé ! :-))
La castration physique évidemment non. C'est le moyen-âge. Mais n'atteint-on pas le même objectif avec la castration chimique? C'est une question mentale certes mais les hormones y jouent le plus grand rôle. Quant aux risques évoqués par Ladywaterloo, il doit bien avoir un moyen de vérifier le taux "de je ne sais quoi" toutes les semaines pour s'assurer de la prise des médicaments. Faute de quoi, hop, retour en prison.
Je ne parle même pas des résultats d'une castration physique sur un condamné qui s'avèrerait plus tard innocent...
3 novembre 2009 18:51
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Anonyme mam'zelle Nitouche a dit...
Tous ces arguments sont en dessous de la ceinture. Pas de coups bas.
3 novembre 2009 18:52
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Les médecins reconnaissent que les effets de la castration ne sont pas connus... C'est vraiment le fantasme total & Caïn cette histoire !
RépondreSupprimerCiguë, je salue ton commentaire.
Je ne vais épiloguer là-dessus... mais zut alors... que va-t-on faire de toutes ces valseuses ensuite !!!
RépondreSupprimerCe sujet est trop complexe et ce ne sont pas mes mots définissant mon opinion qui feront pencher la balance du côté pour ou du côté contre...
Espérons qu'il n'y ait pas trop de débordements...
Quand tu réponds dans un com ceci :
"la justice est là pour gérer les faits de la communauté"... je vais ajouter ceci...
bienheureux sois-tu si tu y crois encore et bienheureux aussi tous ceux qui croit...
Que je le voudrais que je ne le pourrais point...
Mtislav : c'est à dire que les médecins ont du mal à relire les notes datant du moyen âge quant à cette pratique ! :-))
RépondreSupprimer[Merci pour elle…].
Jeffanne : on se doit d'y croire et de tenir la Justice loin des règlements de compte. Un des piliers de la démocratie… :-))