vendredi 3 juin 2011

Féminité [Ton univers impitoyable…]




Quand il s'est agit de distribuer les cartes équitablement, nous avons choisi le poil au menton, la bite en avant, la pomme d'Adam, les hémorroïdes* et un plus gros* salaire.

Les femmes ont reçu de faire naître les enfants dans la douleur, d'avoir des nichons* et de détenir la beauté. Je ne suis pas convaincu qu'elles aient vraiment choisi de baisser elle-mêmes leur rémunération. L'histoire s'est perdue…

A moins qu'à l'époque, suivant la logique du "c'était mieux avant", la proportion de blondes ne fut supérieure à la moyenne actuelle et qu'on leur ai confié le pouvoir de négocier*.

C'est ainsi que chaque femme* vit avec cette chose au-dessus d'elle : incarner* la beauté. On ne réchappe pas de son sexe ou alors par la chirurgie mais excusez-moi, ça doit faire vachement mal.

C'est ainsi que, doutant de leurs propres réussites en la matière, dès qu'elles aperçoivent une gonzesse impeccable*, elles la soupçonnent de dopage, de trucage, de mensonge.

Elles s'encopinent*, s'adolâtrent*, se chérifisent mais aussi, elles se jalousent et se détestent, elles médisent et venimisent plus qu'à leur tour tellement elles se mettent la pression…

Image choisie de Rien d'important*

6 commentaires:

  1. Encore du coquin ! Et pas de bonne recette pour évaluer d'un simple coup d'œil la taille d'une culotte… Pff ! Su la photo, je dirais du 36/38. J'ai bon ?

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  3. pardon, j'avais fait une faute de frappe...

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  4. Moi j'aime bien regarder les jolies meufs. Bien vu pour le salaire, ah ça ! Pour le reste, je préfère quand ton talent d'écriture s'allie à celui d'observateur plus fin que ta conclusion ne veut bien le montrer aujourd'hui. Tu t'es levé de la racine gauche, Poireau ? Soit ! Les femmes se crêpent le chignon, les hommes jouent au bras de fer et se la mesurent au mètre ruban, quant à moi je repars d'ici en cliquant sur tes lianes. Onk, onk !

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  5. marsupilamina : oups ! ;-)

    Marie-Georges (tu permets que je t'appelle Marie-Georges ? ;-) ) : tu as raison ! J'ai écrit plusieurs fins différentes et puis, fatigué je me suis rabattu sur celle-ci dont je ne suis pas vraiment satisfait. Mais par ailleurs, je crois que je ne publie pas assez, que je suis trop "pointilleux" donc, j'ai publié ! :-))

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