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dimanche 2 janvier 2011

La paire [la mère…]



En plus du clitoris sur lequel je reviendrai mais plus tard [c'est tout de même mon blog, je garde encore le choix pour la date], l'autre truc bien chez les filles*, ce sont les seins.

Je ne sais pas si vous avez eu l'occasion d'en palper récemment mais je vous le conseille*. Ce n'est pas que ça détende, ce n'est pas bien le but, mais de sentir leur poids dans la main a un effet disons relaxant. Une sorte de quiétude agitée si vous comprenez quelque chose à cet oxymore*.



Même les petits seins* ont cette sorte de lourde évidence. Ils imposent leur présence aussi bien que les gros nichons mais on s'en rend moins compte. C'est moins visuel, moins dans l'illustration. Le petit robert*, c'est plus pour les gars raffinés. Ce qui n'exclut en rien une certaine gourmandise*.



On n'a pas retenu le nom du designer* et c'est assez dommage, la conception est si réussie* qu'elle traverse les siècles. C'est d'une simplicité remarquable, une forme toute en courbe, adaptée aussi bien à la main* qu'à l'arrondi des lèvres et un téton central comme cerise sur le gateau.




Il y a quand même quelque chose de magique* au moment de l'effeuillage à découvrir le torse galbé de la féminité.
Comment ça tient en l'air ces deux hémisphères ? se demande Alain Bashung* alors que ce n'est pas vraiment le moment où il est question de se poser des trucs du même accabit*.

Et l'autre jour, ma copine qui me demande :

— dis, si on a des enfants, tu penses qu'il faut que j'allaite ?


Mais qu'en sais-je ? Pour moi, les seins*, ça se titille, ça se suçotte, ça se mordille*, ça se masse, ça se palpe, ça se soupèse, ça se lèche, ça se pince, ça se pompe, ça s'écrase, ça se flatte, ça se cajole*,  ça se caresse, ça s'impose*. La poitrine, ça se respire, ça se lape, ça s'effleure*, ça se dédaigne, ça se méprise, ça s'interpose, ça se regarde, ça s'admire*, ça se saisit, ça surprend soudain dans la lueur lunaire*, de toute sa blancheur angélique…


Pour le reste du temps, mon avis, c'est que c'est son corps*, elle fait comme elle le décide…



 


Source images (dans l'ordre d'affichage) : 1, 2, 3, 4

jeudi 11 juin 2009

Petite philosophie [le grand large !]


Les éditions Filaplomb sont heureuses de vous annoncer l'arrivée de leur petit dernier. Traduit et adapté par Didier Ray, ce conte de Robert-Louis Stevenson hisse la grand voile et vous emmène au large sous le crayon de Marcel Uderzo. Parmi les éléments déchaînés et face à la colère océanique, c'est une petite philosophie de l'existence que nous offre ce nouveau volume de la collection «Le Fil Graphique». Ce livre au format sac à main, vous rappellera de goûter au sel de la vie et l'importance d'en apprécier chacun des instants.

A commander en ligne pour 4,20 euros, frais d'envoi de 0,90 euros inclus. Livraison par courrier en 24 à 48 heures.

Si vous désirez commander en tant que libraire ou collectivité, n'hésitez pas à nous contacter par mail : filaplomb-arrobase-skynet-point-be