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mercredi 11 janvier 2012

Jean-Claude Mas [des prothèses !]




Je ne vois pas pourquoi on dit que la création d'entreprise est nulle en France. Voyez, le type était charcutier*, il devient une sorte de chirurgien-esthétique, spécialiste du nibard de grande taille. Après tout, tailler une bavette et mettre en place une mamelle*, c'est un peu pareil, non ?

Parti de rien, il a pu trouver les financements pour se lancer. Une administration efficace lui a permis de croitre et devenir très vite l'un des dealers des leaders du marché. M. Mas est un homme ambitieux et volontaire qui devrait faire la fierté de notre pays. C'est en quelque sorte le Jeanne d'Arc du téton* national.

Les classes moyennes, vous n'avez que ça à la bouche. Mais qui pour défendre les créateurs d'entreprise, les capitaines* courages qui, sur des mers parfois démontées, gardent à la barre, sa fermeté et au cap, son maintien ? Au lieu de cela, on moque ce brave homme qui n'a eu de cesse que d'être compétitif.

Face aux armées mondiales de la prothèse* monticulaire, il a su résister pour garder haut le sein* tricolore. Il a amélioré la technique de l'implant par des recherches imaginatives. De l'audace, toujours de l'audace, Jean-Claude Mas a fait sienne cette devise pour soutenir toute sa percée.


Par sa baisse des coûts, il a cherché à offrir à toutes les femmes, l'espoir de satisfaire leurs demandes pour le pouvoir d'achat. Ce n'est quand même pas lui qui réclamait, en plus, des seins* qui pigeonnent…


Nota Benêt : Jean-Claude Mas,
ce n'est pas DSK.
On ne débat pas de
son droit à la dignité*

En illustration*, une très belle photo de Philippe Tolédano*

dimanche 2 janvier 2011

La paire [la mère…]



En plus du clitoris sur lequel je reviendrai mais plus tard [c'est tout de même mon blog, je garde encore le choix pour la date], l'autre truc bien chez les filles*, ce sont les seins.

Je ne sais pas si vous avez eu l'occasion d'en palper récemment mais je vous le conseille*. Ce n'est pas que ça détende, ce n'est pas bien le but, mais de sentir leur poids dans la main a un effet disons relaxant. Une sorte de quiétude agitée si vous comprenez quelque chose à cet oxymore*.



Même les petits seins* ont cette sorte de lourde évidence. Ils imposent leur présence aussi bien que les gros nichons mais on s'en rend moins compte. C'est moins visuel, moins dans l'illustration. Le petit robert*, c'est plus pour les gars raffinés. Ce qui n'exclut en rien une certaine gourmandise*.



On n'a pas retenu le nom du designer* et c'est assez dommage, la conception est si réussie* qu'elle traverse les siècles. C'est d'une simplicité remarquable, une forme toute en courbe, adaptée aussi bien à la main* qu'à l'arrondi des lèvres et un téton central comme cerise sur le gateau.




Il y a quand même quelque chose de magique* au moment de l'effeuillage à découvrir le torse galbé de la féminité.
Comment ça tient en l'air ces deux hémisphères ? se demande Alain Bashung* alors que ce n'est pas vraiment le moment où il est question de se poser des trucs du même accabit*.

Et l'autre jour, ma copine qui me demande :

— dis, si on a des enfants, tu penses qu'il faut que j'allaite ?


Mais qu'en sais-je ? Pour moi, les seins*, ça se titille, ça se suçotte, ça se mordille*, ça se masse, ça se palpe, ça se soupèse, ça se lèche, ça se pince, ça se pompe, ça s'écrase, ça se flatte, ça se cajole*,  ça se caresse, ça s'impose*. La poitrine, ça se respire, ça se lape, ça s'effleure*, ça se dédaigne, ça se méprise, ça s'interpose, ça se regarde, ça s'admire*, ça se saisit, ça surprend soudain dans la lueur lunaire*, de toute sa blancheur angélique…


Pour le reste du temps, mon avis, c'est que c'est son corps*, elle fait comme elle le décide…



 


Source images (dans l'ordre d'affichage) : 1, 2, 3, 4