Je ne vois pas pourquoi on dit que la création d'entreprise est nulle en France. Voyez, le type était charcutier*, il devient une sorte de chirurgien-esthétique, spécialiste du nibard de grande taille. Après tout, tailler une bavette et mettre en place une mamelle*, c'est un peu pareil, non ?
Parti de rien, il a pu trouver les financements pour se lancer. Une administration efficace lui a permis de croitre et devenir très vite l'un des dealers des leaders du marché. M. Mas est un homme ambitieux et volontaire qui devrait faire la fierté de notre pays. C'est en quelque sorte le Jeanne d'Arc du téton* national.
Les classes moyennes, vous n'avez que ça à la bouche. Mais qui pour défendre les créateurs d'entreprise, les capitaines* courages qui, sur des mers parfois démontées, gardent à la barre, sa fermeté et au cap, son maintien ? Au lieu de cela, on moque ce brave homme qui n'a eu de cesse que d'être compétitif.
Face aux armées mondiales de la prothèse* monticulaire, il a su résister pour garder haut le sein* tricolore. Il a amélioré la technique de l'implant par des recherches imaginatives. De l'audace, toujours de l'audace, Jean-Claude Mas a fait sienne cette devise pour soutenir toute sa percée.
Par sa baisse des coûts, il a cherché à offrir à toutes les femmes, l'espoir de satisfaire leurs demandes pour le pouvoir d'achat. Ce n'est quand même pas lui qui réclamait, en plus, des seins* qui pigeonnent…
Par sa baisse des coûts, il a cherché à offrir à toutes les femmes, l'espoir de satisfaire leurs demandes pour le pouvoir d'achat. Ce n'est quand même pas lui qui réclamait, en plus, des seins* qui pigeonnent…
Nota Benêt : Jean-Claude Mas,
ce n'est pas DSK.
On ne débat pas de
Ah ! Un billet !
RépondreSupprimerBravo ! Belle défense de l'industrie Française !
RépondreSupprimerOui, mais depuis on ne sait plus à quel sein se vouer, no où aller se faire charcuter ...
RépondreSupprimerc'est facile, je sors.
Nicolas : ah un billet que je publie ! En fait, j'ai plein de début mais sans fin… C'est énervant !
RépondreSupprimerJean-Claude Mas, c'est l'illustration parfaite de l'industrie française qu'on assassine ! ;-))
solveig : je suis surpris du nombre de prothèses déjà posées. Je pensais que c'était un truc relativement rare mais non !
:-))
Ah mais je savais bien que malgré ma sonnette agaçante j'arriverai à te faire pondre un bon billet !
RépondreSupprimerBravo Poireau ;-)
Trublyonne : ouais, t'as vu, j'ai bossé ! :-)
RépondreSupprimerComme dirait Nora, on ne devrait pas s'éloigner de la "pipe" car malheureusement la PiP sans "e" est elle trop dangereuse!
RépondreSupprimerThierryRégis : Ah NoraGaspard me dit qu'effectivement, la pipe sans E (eux) c'est moins drôle ! :-)
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