On me parle des 500 signatures de Marine Le Pen et je vais vous avouer un truc : je m'en fous, je m'en contrepignole, je m'en bats l'œil comme de l'an quarante. Je ne vois même pas pourquoi c'est un sujet d'info*, tellement c'est un détail de la campagne électorale.
[LA SUITE (lien testé à 0h20 !)]
Illustration : Marine Le Pen et Gérard Janus, maire de Fort-Louis en Alsace, qui lui a promis son parrainage. (VINCENT Kessler/Reuters) via Le Figaro*
Ouais, je mettrai même la barre plus haute que ces seulement 500 signatures... un ancrage local bien nécessaire.
RépondreSupprimerOuais. Un million de signatures de maires, ça aurait de la gueule. Ou alors 36000.
RépondreSupprimerStef, Nicolas : bah, il me semble que le chiffre de 500 est situé où il faut, rien à changer ! :-)
RépondreSupprimerLe FN n'est pas assez ancré dans le paysage politique ? ... j'aimerais que tu aies raison mais il ne l'est que trop !
RépondreSupprimerCette histoire de signatures ne sert qu'à victimiser celle qui s'en plaint et à enrager ceux qui la défendent, ce qui me semble maladroit.
Solveig : absolument pas ! Tu confonds la vie médiatique avec le reflet des différentes élections en France. Le FN n'a pas assez d'élus pour pouvoir obtenir ses 500 signatures.
RépondreSupprimer:-)