lundi 31 mars 2008
La vie municipale (c'est communal !)
A Eloie, dans les Vosges, l'ancienne secrétaire de Mairie s'appelait Renée Toulouse.
A croire qu'à Toulouse, ce n'était pas tellement l'intérêt général qu'ils aimaient défendre, mais plutôt leur bout de gras. La ville bruisse ces jours-ci parce que la nouvelle équipe en place a modifié la rémunération des élus. Et bien sûr, ceux qui ont perdu la place font un peu la gueule.
C'est sûr qu'en trente-sept ans, on s'habitue aux dorures et aux grand bureaux.
A moins que ce soit la notion même de changement que n'aime pas la droite. Par exemple, avant tu pouvais constituer un groupe à deux. Alors qu'on sait bien qu'en duo, il y a un tas de choses plus agréables à faire que de tenir des sièges. Maintenant, il faut être quatre, au minimum, pour se grouper.
Du coup le Modem, avec ses trois élus, a décidé aussi de faire la gueule. Au lieu de se souvenir que ce sont surtout les électeurs qui ont choisi de les mettre à cette modeste place et qu'il y avait peut-être un message…
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Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerPar moments, on se demande un peu ce que vous voulez dire... franchement...
RépondreSupprimerTenir des sièges à quatres, ça peut être sympa aussi.
RépondreSupprimerok, je sors...
Vive Toulouse.
RépondreSupprimerA deux ou à quatre ? Cela se complique...
RépondreSupprimerNe couperait-on pas les cheveux en quatre ?
A tout prendre mieux vaut un joli quatrain qu'un quatuor bancal ...
Didier Goux : parfois je me demande aussi !
RépondreSupprimerEnfin bon, la droite battue a entamé son premier combat dans l'opposition : maintenir ses privilèges ! :-)))
Mag : des chaises à porteurs, peut-être ! :-)
Nicolas : et la gauche ! :-)
Plumeau : euh… pas mieux ! :-)