Le président de l'Opep Chakib Khelil, le 5 mars 2008 à Vienne [photo publiée telle que par le site Metro !]
Le président de l'Opep, Chakib Khelil, a réaffirmé samedi à Alger qu'il n'y avait pas de problème d'offre de pétrole, mais un problème de spéculation poussant les prix à la hausse. «Il n'y avait pas de problème d'offre, le problème est beaucoup plus lié à la spéculation», a déclaré M. Khelil lors d'un point de presse en présence du ministre français de l'Ecologie et du développement durable et de l'énergie Jean-Louis Borloo, en visite à Alger.
En clair, en guise de troisième «choc pétrolier» qu'on essaie de nous vendre, nous avons quelques requins de la finance internationale entrain de parier sur les cours du brut.
Ces messieurs s'amusent…
Le président de l'Opep, Chakib Khelil, a réaffirmé samedi à Alger qu'il n'y avait pas de problème d'offre de pétrole, mais un problème de spéculation poussant les prix à la hausse. «Il n'y avait pas de problème d'offre, le problème est beaucoup plus lié à la spéculation», a déclaré M. Khelil lors d'un point de presse en présence du ministre français de l'Ecologie et du développement durable et de l'énergie Jean-Louis Borloo, en visite à Alger.
En clair, en guise de troisième «choc pétrolier» qu'on essaie de nous vendre, nous avons quelques requins de la finance internationale entrain de parier sur les cours du brut.
Ces messieurs s'amusent…