C'était mieux avant.
Nous pouvions fumer dans les bistrots sans sortir sur le trottoir et risquer d'ajouter la gelure de miches au cancer du poumon.
Nous pouvions rentrer tranquillement bourrés sans rencontrer les Forces de l'Ordre à chaque coin de rue puisqu'elles étaient elle-mêmes occupées à cloper au PMU.
[Maintenant, quand tu rentres éméché, le plus grand risque, c'est de renverser un flic !]
Nous habitions des résidences dont le calme était garanti par la fermeté du "gardien" [un digicode, ça n'a jamais le même effet !].
Comme il y a aujourd'hui encore des caissières dans les supermarchés, il y avait des "gardes-barrières" à chaque passage à niveau pour veiller au bon passage des autocars…
Nous pouvions fumer dans les bistrots sans sortir sur le trottoir et risquer d'ajouter la gelure de miches au cancer du poumon.
Nous pouvions rentrer tranquillement bourrés sans rencontrer les Forces de l'Ordre à chaque coin de rue puisqu'elles étaient elle-mêmes occupées à cloper au PMU.
[Maintenant, quand tu rentres éméché, le plus grand risque, c'est de renverser un flic !]
Nous habitions des résidences dont le calme était garanti par la fermeté du "gardien" [un digicode, ça n'a jamais le même effet !].
Comme il y a aujourd'hui encore des caissières dans les supermarchés, il y avait des "gardes-barrières" à chaque passage à niveau pour veiller au bon passage des autocars…
Ouais... Mais mes arrières grands parents étaient garde barrière, ainsi que, beaucoup plus jeunes, les parents de Michou, personnage hasardeux de mon blog.
RépondreSupprimerEtait-ce vraiment le bon vieux temps ?
Je ne crois pas que c'était si bien que ça du temps de nos grands-parents. Ils n'avaient aucun point retraite par exemple, travaillaient tout le temps et ont attendu 36 pour avoir des congés payés. Ils étaient à l'usine ou dans les mines à 12 ans. Dans les filatures ce n'était guère plus réjouissant. Mais quand j'entends le vitrier passer comme "au bon vieux temps", la nostalgie s'insinue en moi et je me dis que tous ces petits métiers étaient bien sympathiques...
RépondreSupprimer"Nous pouvions rentrer tranquillement bourrés sans rencontrer les Forces de l'Ordre à chaque coin de rue puisqu'elles étaient elle-mêmes occupées à cloper au PMU".
RépondreSupprimerCa c'est vrai ! Bon même si je n'ai pas souvent été raisonnable un bémol sur la prévention des accidents de la route. Ils n'ont qu'à ouvrir le métro la nuit ! Dis ça à tes potes lors de la prochaine République des Gauches :-D
Tu oublies les fabuleux allumeurs de réverbères.
RépondreSupprimerBonjour monsieur Poireau,
RépondreSupprimerMoi je dirai comme toi "c'était mieux avant" l'année prochaine, quand le poste d'enseignant soutien lecture sera supprimé dans mon secteur ZEP (je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans connaîtront) ! En attendant on fait grève tournante dans les écoles du 20è parisien(c'est le sujet de mon article auj).
Avant, y'avait aussi des éclusiers. Tiens, y'en a encore, mais en Belgique. C'est mieux ailleurs ?!
Marie-Georges Profonde: C'est pas mieux en Belgique! C'était le foutoir avant, ça l'est toujours maintenant!
RépondreSupprimerMag : Aïe, je me plus à y croire un instant...
RépondreSupprimerNicolas : pas le bon temps pour tout mais au moins il y avait des humains et pas des trucs automatiques partout !
RépondreSupprimer:-)
Plumeau : oui, c'est juste le côté des petits métiers d'avant que je soulignais... :-)
Benjii : je n'etais pas remonté aussi loin ! :-)
Marie-georges profonde : ah c'était bien l'école quand il y avait encore des profs dirons-nous bientôt ! :-))
Il reste des éclusiers en France, non ? J'en sais rien en fait ! :-)))
Mag et Marie-georges : après le "c'était mieux avant", on ne va pas se lancer dans le "c'est mieux ailleurs", non ? :-)))
En tant que vétéran du blog de Poireau je tiens à protester avec la plus grande fermeté devant la disparition du terme entre crochet dans le titre.
RépondreSupprimerJe suggérerais :
- C'était mieux avant... [comme le moulin]
- C'était mieux avant... [frais, vent du matin]
- C'était mieux avant... [tripotant]
etc.
Balmeyer : là, j'avoue, je n'ai rien trouver d'assez bien pour le titre (que j'appelle "titre à deux étages" mais bon...).
RépondreSupprimerC'était mieux avant [Arrête ton char !]
C'était mieux avant [je vise le rétro !]