Pendant que je vous écris ces lignes, il y a un gars à poil qui me regarde dans la partie droite de mon écran. Il me voit, lui aussi. J'ai le casque sur les oreilles, l'esprit en ballade à travers la musique et parmi les mots. Il est assis et son ventre qui déborde cache en grande partie ce que sa main caresse.
J'ai d'abord cru que Chatroulette était une de ces innovations informatiques dont les développeurs oublient régulièrement qu'il y a aussi des Macs. J'attendais sagement que l'engouement du moment nous apporte une version complète et compatible. En réalité, allez savoir pourquoi, c'est juste Firefox qui délire pour le coup [alors que franchement pour tout le reste, c'est top !] tandis que Safari est tout à fait capable de faire tourner le bouzin.
Si vous avez loupé les dernières nouveautés d'internet, sachez que Chatroulette n'est pas un jeu dont le but serait de flinguer de charmants chatons au hasard et à bout portant. C'est un service en ligne qui vous met en relation sonore et visuelle avec n'importe qui sur la planète, pourvu qu'il soit connecté en même temps que vous sur le site.
Les cinq premières minutes sont assez amusante. Vous êtes emporté par l'envie de dialoguer avec quelqu'un du bout du monde, d'échanger sur le plan culturel et de découvrir la vraie vie des vrais gens. Choper ce qu'ils écoutent comme bonne musique en ce moment, ce qu'ils pensent de l'époque et comment ils s'en sortent avec la vie. Et puis, vous vous connectez et là, vous les voyez comme ils existent. C'est la plus grande étendue d'ennui connue à ce jour.
Une majorité d'homme s'affiche la queue à la main, flasque ou turgescente, de toute forme ou taille, bien visible malgré l'absence parfois regrettable d'une fonction zoom. Est-ce ainsi que les hommes vivent ? C'est à croire qu'ils sont avant tout un sexe et que la chair précède leur existence. Il y a tellement de mecs occupés à se masturber en ligne que j'en viens à m'interroger sur ma normalité. Peut-être est-ce une déficience en testostérone qui me laisse ainsi assis au bureau, le pénis au repos.
Mesdemoiselles, si vous voulez voir de la bite en action, de la biroute qui moove, du zob qui zappe, allez sur chatroulette. Vous pouvez librement et sans aucune hésitation, vous titillez le bouton NEXT et ne vous arrêtez que sur la partie qui vous intéresse, le modèle qui vous convient. On ne dira jamais assez l'importance des détails d'un joli design dans la décoration intérieure. De la molle, de la dure, de la classique à poil, de la moderne à peau nue, un grand choix de variétés vous est offert. Pour le reste, c'est relativement pauvre.
Il arrive d'échanger trois phrases avec des anonymes mais c'est avant tout un immense zapping dont rien ne ressort. Des gamins à doigt d'honneur [on montre toujours ce qui nous manque le plus…], des ados boutonneuses qui pouffent [ou l'inverse], des gros à petite queue, des gras avec du poil, des rasés de frais, des crétins qui se marrent, des photos de toute sorte, des chambres vides, des endroits sans personne.
C'était amusant jusque là internet. On discutait avec des inconnues par mails. Puis MSN ouvrait d'autres conversations en plusieurs chapitres et de plus longue haleine. Quand nous venait l'envie de prendre un verre ensemble [IRL : In the Real Life], celle qui apparaissait à nos yeux était déjà porteuse de toute la grâce du langage qui l'avait précédée.
Au commencement était le verbe. On draguait à coup de formule magique, du tricot de phrases à l'envers à l'endroit, à s'en faire perdre la tête. On grattouillait le langage afin de lui faire dire au mieux notre balbutiement. On tâtonnait les métaphores, on cajolait le petit bout rimé. On riait devant son clavier comme un imbécile tandis que, sans que notre propre volonté n'y puisse rien, on inventait un sourire véritable sur à une personne faite de mots. On palpitait de l'azerty à des vitesses foudroyantes.
Chatroulette est à l'exact opposé. On ne se parle pas, on se marre et on zappe. Le physique avant tout sert de déterminant. On regarde qui est là, on jauge et on jette. C'est un véritable duel en ligne, à celui qui dégainera son next le premier. On veut juste mater, admirer, contempler et éventuellement s'exciter. Il s'agit avant tout de se moquer de tous ces crétins qui passent leur soirée connectés là…
J'ai d'abord cru que Chatroulette était une de ces innovations informatiques dont les développeurs oublient régulièrement qu'il y a aussi des Macs. J'attendais sagement que l'engouement du moment nous apporte une version complète et compatible. En réalité, allez savoir pourquoi, c'est juste Firefox qui délire pour le coup [alors que franchement pour tout le reste, c'est top !] tandis que Safari est tout à fait capable de faire tourner le bouzin.
Si vous avez loupé les dernières nouveautés d'internet, sachez que Chatroulette n'est pas un jeu dont le but serait de flinguer de charmants chatons au hasard et à bout portant. C'est un service en ligne qui vous met en relation sonore et visuelle avec n'importe qui sur la planète, pourvu qu'il soit connecté en même temps que vous sur le site.
Les cinq premières minutes sont assez amusante. Vous êtes emporté par l'envie de dialoguer avec quelqu'un du bout du monde, d'échanger sur le plan culturel et de découvrir la vraie vie des vrais gens. Choper ce qu'ils écoutent comme bonne musique en ce moment, ce qu'ils pensent de l'époque et comment ils s'en sortent avec la vie. Et puis, vous vous connectez et là, vous les voyez comme ils existent. C'est la plus grande étendue d'ennui connue à ce jour.
Une majorité d'homme s'affiche la queue à la main, flasque ou turgescente, de toute forme ou taille, bien visible malgré l'absence parfois regrettable d'une fonction zoom. Est-ce ainsi que les hommes vivent ? C'est à croire qu'ils sont avant tout un sexe et que la chair précède leur existence. Il y a tellement de mecs occupés à se masturber en ligne que j'en viens à m'interroger sur ma normalité. Peut-être est-ce une déficience en testostérone qui me laisse ainsi assis au bureau, le pénis au repos.
Mesdemoiselles, si vous voulez voir de la bite en action, de la biroute qui moove, du zob qui zappe, allez sur chatroulette. Vous pouvez librement et sans aucune hésitation, vous titillez le bouton NEXT et ne vous arrêtez que sur la partie qui vous intéresse, le modèle qui vous convient. On ne dira jamais assez l'importance des détails d'un joli design dans la décoration intérieure. De la molle, de la dure, de la classique à poil, de la moderne à peau nue, un grand choix de variétés vous est offert. Pour le reste, c'est relativement pauvre.
Il arrive d'échanger trois phrases avec des anonymes mais c'est avant tout un immense zapping dont rien ne ressort. Des gamins à doigt d'honneur [on montre toujours ce qui nous manque le plus…], des ados boutonneuses qui pouffent [ou l'inverse], des gros à petite queue, des gras avec du poil, des rasés de frais, des crétins qui se marrent, des photos de toute sorte, des chambres vides, des endroits sans personne.
C'était amusant jusque là internet. On discutait avec des inconnues par mails. Puis MSN ouvrait d'autres conversations en plusieurs chapitres et de plus longue haleine. Quand nous venait l'envie de prendre un verre ensemble [IRL : In the Real Life], celle qui apparaissait à nos yeux était déjà porteuse de toute la grâce du langage qui l'avait précédée.
Au commencement était le verbe. On draguait à coup de formule magique, du tricot de phrases à l'envers à l'endroit, à s'en faire perdre la tête. On grattouillait le langage afin de lui faire dire au mieux notre balbutiement. On tâtonnait les métaphores, on cajolait le petit bout rimé. On riait devant son clavier comme un imbécile tandis que, sans que notre propre volonté n'y puisse rien, on inventait un sourire véritable sur à une personne faite de mots. On palpitait de l'azerty à des vitesses foudroyantes.
Chatroulette est à l'exact opposé. On ne se parle pas, on se marre et on zappe. Le physique avant tout sert de déterminant. On regarde qui est là, on jauge et on jette. C'est un véritable duel en ligne, à celui qui dégainera son next le premier. On veut juste mater, admirer, contempler et éventuellement s'exciter. Il s'agit avant tout de se moquer de tous ces crétins qui passent leur soirée connectés là…
Mazette...
RépondreSupprimerMarie-Georges : ah te revoilà !
RépondreSupprimer:-))
Oui, mazette, c'est un bon résumé ! :-))
Oh la tête de dépité que tu as ! lol !
RépondreSupprimerCathy : oui, ça fait ça ! :-))
RépondreSupprimerMerde moi je suis jamais tombe sur des femmes denudes... Veinard va !
RépondreSupprimeruMp4eVeR : (faut pas exagérer avec les pseudos, faut rester crédible !) :
RépondreSupprimerSi, si, il y a quelques femmes voyeuses ou exhibitionnistes. Elles sont apparemment très minoritaires mais y'en a !
:-))
Poireau a avoué : il ne bloguait presque plus parce qu'il cherchait des mecs à poil sur internet.
RépondreSupprimerA propos des quelques femmes voyeuses ou exhibitionnistes, j'ai une étude à faire pour l'université de sociologie en droit, mais j'ai déjà rendu le rapport sur les types qui se touchaient et j'ai oublié le chapitre sur les quelques femmes voyeuses ou exhibitionnistes, pourrais-tu me donner l'accès direct, je n'ai pas trop le temps vu que j'ai poney tout à l'heure, merci et bon week-end.
RépondreSupprimerNicolas : jaloux ! :-))
RépondreSupprimerBalmeyer : il n'y a pas d'accès direct, c'est juste le hasard. Un peu comme le choix du poney quand tu arrives au manège, quoi ! :-))
Mmm! Je n'ai pas pigé ton lien sur Firefox et le billet de Nicolas sur Twittttchose… Il y a un rapport? Par contre j'ai bien aimé les zèbres, on tombe sur de ces trucs avec chatroulettes!
RépondreSupprimerLe Coucou : tu sais mes liens, c'est souvent n'importe quoi ou alors c'est tellement décalé que je suis le seul à piger !
RépondreSupprimerIci, j'ai mis Nicolas et son blog g33k en lien avec Firefox, ça me semblait logique !
:-))
[Tiens, il faudrait inventer un code html pour générer des liens au hasard, ça compliquerait la vie de Monsieur et Madame Wikio ! :-)) ].
(Tu as revendu ta ferme MG ?)
RépondreSupprimerEt si tu croises Laurent Joffrin dans une posture bizarre sur Chatroulette, n'aie pas peur: il fait juste du journalisme d'investigation.
RépondreSupprimermtislav : si tu veux, j'ai le mail de MG ! :-))
RépondreSupprimerEric : ah on ne dira jamais assez de bien des enquêtes de terrain ! :-))
Chatroulette peut continuer à se tripoter, je ne mettrai pas mon IP dans ses Stats, na ! Ben, quand on voit à quoi mène le désoeuvrement... au moins, les envies de porno de "Belle de jour" avaient un arrière goût de défendu...
RépondreSupprimerChat alors !!!!
RépondreSupprimerHeureusement que, secrètement, je te considères comme mon "ange gardien" et que ton texte se révèle être "quasi une mise en demeure" m'exposant les "risques et périls" de "chatsaisplus" sinon je me trouvais à regarder "des trucs de toutes formes et de tous poils, des machins qui tombent ou se relèvent c'est selon... (est-ce que j'ai bien compris !!!! c'est une majorité de çà non ???? tu ne peux même plus voter à droite ou à gauche tout se tient au milieu)
Là ce serait refaire mon éducation à l'envers....(euh, je souris)....
Merci Monsieur Poireau pour tous ces détails qui me font touner les yeux ailleurs en dehors de ces doigts et de ces mains...
Bon, y'a les autres aussi mais si cela s'avère aussi décevant !!!
bonne journée....
A la base, je trouve que Chatroulette est une bonne idée : la mise en relation de webcams de façon aléatoire. Y a pas plus simple et con comme concepte !
RépondreSupprimerBon, maintenant que tous les voyeurs (ça gène pas trop !) Et les exhibitionnistes s'y rencontrent et polluent ce site ; ça c'est plus embêtant :-/
[Il y aurait au oins 10% de mecs à poil, tu peux confirmer ?!?]
Bon, les logiciels de contrôle parental filtrent maintenant le site pour que notre jeunesse soit épargnée : c'est une bonne chose...
Mais pour les mecs prudes comme moi, il faudrait aussi que chatroulette intègre un système de reconnaissance vidéo des bites et de foufounes... Je ne voudrais pas tomber sur un type en train d'astiquer son poireau ;)
nekkonezumi : mettre son IP dans ses stats, belle expression ! :-))
RépondreSupprimerJeffanne : oui, c'est une "leçon de choses". Ça peut intéresser pour qui se branche sur ce sujet. Si non, bah, on peut s'en passer !
Ange gardien ? J'ai des doutes sur mon angélisme, en fait ! :-)))
dadavidov : la mise en relation au hasard suppose de tomber sur des personnes qui proposent autre chose. On ne peut pas extirper l'animalité de l'homme (et de la femme puisque c'est sa fête !). Et d'ailleurs, le faudrait-il ?
Je ne suis pas particulièrement prude, chacun a un corps et en fait ce qu'il veut. Pourvu d'équiper le service des filtres nécessaires (attention aux enfants, je ne veux me connecter qu'avec des femmes, j'aime aussi voir des bites, …), je suis pour la plus grande tolérance.
Ça ne me gène pas que des exhibitionnistes puissent croiser des voyeurs ou des voyeuses, au contraire, tant mieux pour eux.
Il faut juste me prévenir ! :-))
Statistiquement, il doit y avoir une femme pour 10 hommes environs. Quant aux masturbateurs, ça doit être du même ordre, genre 1 sur 8.
Mesure personnelle non garantie !
:-))
Voilà la magie d'Internet : tu peux mater la bite d'un mec qui est à l'autre bout de la planète !!
RépondreSupprimerCe site m'a assez scotché. Grand naïf que je suis, je dois admettre que j'ai été surpris par les pulsions exhibitionnistes qu'il réveille chez beaucoup. En attendant, il y en a certains chez qui cela réveille le Michel Gondry qui sommeillaient en eux. Ça, cela excuse pas mal des zigounettes flasques qu'ont a dû s'infliger pour arriver jusqu'à eux.
RépondreSupprimerRoland Bibine : j'en parle assez souvent de cette manière. Imaginer la suite d'inventions qu'il a fallu pour arriver à voir des bites en ligne, c'est impressionnant !
RépondreSupprimer:-))
Cheap666 : on ne peut pas être tous des Gondry ! Si c'était le cas, peut-être que ça rendrait les exhibitionnistes très originaux ! :-)))
[Je me trompe ou bien c'est super simple à programmer comme site ?].
"celle qui apparaissait à nos yeux était déjà porteuse de toute la grâce du langage qui l'avait précédée."
RépondreSupprimerMonsieur Poireau, cette phrase est parfaite. C'est exactement ça. Je l'amende juste un petit peu, à peine, pour lui faire dire "celle, ou celui".
C'est comme ça que j'ai rencontré mon amoureux (celui qui me manque. Il n'est pas encore revenu).
On s'est parlé longtemps avant de se voir. J'avais peur d'être déçue avant qu'on ne se rencontre. J'avais peur qu'il ne soit pas "réellement" lui, alors que lui n'avait pas peur. C'était ce qu'il me disait. Lorsque je l'ai vu, je ne l'ai pas reconnu. Mais nous avons parlé, longuement, longuement, et tout s'est mis en place, petit à petit: le visage, les mains, la voix, les intonations, les gestes, les rires, le souffle, les expressions...
Comme une petite pluie de morceaux de puzzle en désordre qu'il a fallu s'appliquer à identifier, à manipuler, à placer, à agencer, à mettre en cohérence avec ce que l'on avait appris à connaître et à comprendre l'un de l'autre.
Je trouve, finalement, que c'est une jolie façon de faire connaissance.
Vous aurez remarqué comme moi, d'ailleurs, que "faire connaissance" et "faire l'amour" sont deux expressions qui sont suffisamment proches pour que l'on ne s'étonne guère de ce que l'un et l'autre s'ensuivent assez naturellement.
J'aime beaucoup votre blog, en tout cas. Je crois que je vagabonderai par ici, de temps à autre, si vous voulez bien.
Maudlin : merci !
RépondreSupprimerJ'ai toujours bien aimé, pour l'avoir vécu, les rencontres réelles avec des personnes connues dans le virtuel (l'irréel ?). On peut dire ça pour les deux genres, évidemment.
Ces rencontres de la personne avant qu'elle ne soit réellement de chair sont vraiment intéressantes ! :-))
Vous êtes la bienvenue !
:-))
[Tu as essayé de crier son nom pour qu'il revienne ? Des fois, ça marche ! :-)) ].
Ah bah, non, je n'ai pas essayé.
RépondreSupprimer[Je croyais que ça ne marchait qu'avec Aliiine-pour-qu'elle-revienne, en fait. My mistake.]
[Je vais tenter!]
Maudlin : nan ! Ça marche avec toutes les amours en fait !
RépondreSupprimer:-))
En fait, c'est du porno/sexe gratuit ...
RépondreSupprimerMademoiselle Ciguë : oui mais pas seulement. C'est plus amusant quand même puisque le facteur hasard fait que tu ne sais pas ce qui va apparaitre en face ! :-))
RépondreSupprimerC'est donc un jeu "porno/sexe gratuit" de hasard. Encore mieux ! Il ne manque plus que quelques lignes de coke et une bonne bouteille de whisky et tous les vices sont réuni !
RépondreSupprimerUn site à mettre dans mes favoris absolument !!
Mademoiselle Ciguë : il va te falloir une caméra ! :-)))
RépondreSupprimerje ne dois pas faire partie de cette planète
RépondreSupprimerles seuls sentiments qui me viennent à l'esprit sont "misère", (humaine, sexuelle, affective), et "pauvreté" (intellectuelle, spirituelle)
le côté hasard que tu soulignes, me fait penser à la notion de liberté
personnellement je n'ai pas envie de voir surgir par un hasard un sexe d'homme, si je ne l'ai pas décidé
c'est comme ... une agression
une atteinte à ma liberté
je sais, je sais, je ne suis qu'une bourgeoise bien nourrie et coincée de surcroit
ceci étant, on ne va pas par hasard sur ces sites :-)
je ne connaissais pas du tout ce "phénomène"
à priori il y a peu de chance que je croise ce genre de site, étant donné le peu d'usage que je fais de la toile et du net, et le genre de recherche que j'y mène
l'ordi est un toxic de plus dans nos vies, une addiction comme une autre
bref, je m'éloigne du sujet :-))
belle journée
Monsieur Poireau: [Je me trompe ou bien c'est super simple à programmer comme site ?].
RépondreSupprimerOui, c'est relativement simple, mais par contre cela doit lui coûter un pont en bande passante.
Chatroulette n'est qu'une des (nombreuses) représentations de la réalité sociale de l'occident d'aujourd’hui. Des hommes (en grande partie) mais aussi des femmes en manque non pas de sexe malgrés le fait que leurs égos veulent bien leur faire croire… Mais en manque de tendresse… d’humanité ! A cela on peu y rajouter toutes pratiques considérées comme étranges et bizarres voire dangereuses selon « Zone Interdite »…
RépondreSupprimerPourtant lorsqu'on creuse un peu le "malaise" on se rend compte de la simplicité des désirs humains...