Louis XVI distribuant des secours aux pauvres pendant l'hiver de 1788 - Louis Hersent [source]
D'un côté, on t'explique que les trente cinq heures ne servent à rien si tu n'as pas de quoi te payer un week end avec madame et les gosses, on offre la gratuité sur les charges sociales à ton patron et te voilà obligé de bosser comme un âne pour une toute petite carotte [chaque homme a un prix, gars, mais le tien est particulièrement bas].
Et de l'autre, on te colle les gamins dans les pattes le samedi matin. Et quoi ? Ils vont nous offrir du pouvoir d'achat supplémentaire pour les frais des enfants en sus ? On les case où maintenant les heures supplémentaires ?
A mon avis, c'est juste qu'à force de virer tout le personnel, ils n'ont plus personne pour couvrir la semaine. Une sorte d'Education nationale en faillite, quoi ! Remarquez que c'est assez à l'image de ce gouvernement. Entre le concours de dindes et François Fillon qui essaie désespérément de nous faire croire qu'il dirige quelque chose, c'est un peu la faillite de la maison UMP, non ?
La presse est occupée à nous présenter un Sarkozy toujours vainqueur et toujours conquérant et n'évoque que peu les tensions au sein du parti au pouvoir. On sent pourtant poindre ici ou là quelques déceptions. Pensez, ils imaginaient voter pour un De Gaulle et ils se retrouvent avec Nicolas XVI au pouvoir.
[alors que nous on voulait Royal et qu'on a le Tiers-État !]
Les médias vont même plus loin dans le mensonge aujourd'hui, en nous informant de ce que Sarkozy aurait (encore) un ami. On apprend heureusement dans le corps des articles de la propagande, qu'il ne s'agit que d'un acteur de comédie…
D'un côté, on t'explique que les trente cinq heures ne servent à rien si tu n'as pas de quoi te payer un week end avec madame et les gosses, on offre la gratuité sur les charges sociales à ton patron et te voilà obligé de bosser comme un âne pour une toute petite carotte [chaque homme a un prix, gars, mais le tien est particulièrement bas].
Et de l'autre, on te colle les gamins dans les pattes le samedi matin. Et quoi ? Ils vont nous offrir du pouvoir d'achat supplémentaire pour les frais des enfants en sus ? On les case où maintenant les heures supplémentaires ?
A mon avis, c'est juste qu'à force de virer tout le personnel, ils n'ont plus personne pour couvrir la semaine. Une sorte d'Education nationale en faillite, quoi ! Remarquez que c'est assez à l'image de ce gouvernement. Entre le concours de dindes et François Fillon qui essaie désespérément de nous faire croire qu'il dirige quelque chose, c'est un peu la faillite de la maison UMP, non ?
La presse est occupée à nous présenter un Sarkozy toujours vainqueur et toujours conquérant et n'évoque que peu les tensions au sein du parti au pouvoir. On sent pourtant poindre ici ou là quelques déceptions. Pensez, ils imaginaient voter pour un De Gaulle et ils se retrouvent avec Nicolas XVI au pouvoir.
[alors que nous on voulait Royal et qu'on a le Tiers-État !]
Les médias vont même plus loin dans le mensonge aujourd'hui, en nous informant de ce que Sarkozy aurait (encore) un ami. On apprend heureusement dans le corps des articles de la propagande, qu'il ne s'agit que d'un acteur de comédie…
Ben alors? On se lance dans les vieilles peintures comme Marie-Georges Profonde?
RépondreSupprimermag : bah ! Pour illustrer le règne de Sarkozy, je ne vois que de vieilles peintures...
RépondreSupprimer:-)
Vous exagérez : je pense que même le plus "bas de plafond" des électeurs de droite avait perçu la très légère différence existant entre Charles de Gaulle et Nicolas Sarkozy...
RépondreSupprimerDidier Goux : vous exagérez en omettant l'aveuglement donc ces gens font preuve. J'en prend pour témoin les différents trolls (non, pas vous !) qui continuent à le défendre ! :-))
RépondreSupprimerDe Gaulle avait un gros nez.
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